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Barnabé, le chat qui haïssait les souris...

 

Barnabé est horriblement maladroit. C’est bien simple, de sa vie il n’a jamais
réussi à croquer la moindre souris ! Mais un jour, lassé d’être la risée
de tous les autres chats du quartier, il met au point un plan démoniaque
pour parvenir à ses fins. Malheureusement, rien ne se passe comme prévu...

 

Mon premier album jeunesse, illustré par Maréva Stern.

Disponible en librairie ou sur le site des éditions Des mots dans une valise.

[L'INSURRECTION DES MOINEAUX] Une fable contemporaine dans laquelle la nature est reine, qui donne la parole à nos amis les oiseaux. Un texte joliment illustré, poétique et inspirant !

Coup de cœur de la librairie Montbarbon (Bourg-en-Bresse)

[HISTOIRES D'AMOUR & AUTRES ATROCITES] J’ai toujours considéré comme délicat l’art d’écrire des nouvelles. Avec ce recueil, je suis comblée par l’habileté avec laquelle Stephan Ferry nous entraîne jusqu’à l’apogée du sordide en quelques paragraphes, avec une chute brutale, tout en mettant en lumière toute l’humanité de chacun des personnages et les raisons de leur désespoir... Il y a tant de réalisme dans chacune de leur vie que la résilience peut paraître bien dérisoire comme issue.

Instagram : @lire_et_se_lire

[LES BIJOUX DE NOUT] Une aventure fantastique dont le but n'est pas d'atteindre l'arrivée, mais de comprendre le départ. Stupéfiant !

Librairie La Zone du dehors (Bordeaux)

 

[LES BIJOUX DE NOUT] Un pur moment de fantastique, de poésie, de drame...  dont on sort avec un regard neuf sur ce qui nous entoure et un sentiment d'humilité face à notre besoin de vouloir tout expliquer et rationaliser. Fascinant !

Critique en ligne

[LES BIJOUX DE NOUT] Avec une plume pleine de poésie, Stephan Ferry nous entraîne dans une fugue à travers la France, reliant l'Alsace à Bordeaux. A la frontière du fantastique, ce roman présente une véritable épopée contre la neige et le temps.

Pépites de Nouvelle-Aquitaine

[ORDALIES] Avec une maturité affirmée, Stephan Ferry, dans ces variations fines, balaye d’une lumière crue et sans détour les ombres les plus sombres de l’humain.  Citons les petits chefs-d’œuvre que sont « Via Dolorosa », « Macération » ou encore « Le patriotisme mène à tout, on ne le dira jamais assez », le plus long, récit intégrant qui ferme l’ouvrage. « Via Dolorosa », pour ne parler que d’elle, brosse le tableau naïf d’un irréprochable Père René, l’un de ces rares curés de qui l’enfant catéchisé serait prêt à garder le souvenir d’un être lumineux, à qui le Bon Dieu serait donné sans confession. Mais d’un mot, d’un seul, celui de la fin, tout bascule : la lumière s’éteint soudain, douloureusement. 

Critique en ligne

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